Lieux emblématiques de Rouen

Patrick
Lieux emblématiques de Rouen

Lieux emblématiques

Le Gros-Horloge est l'un des monuments emblématiques de la ville de Rouen construit en 1389. La construction, accolée à un beffroi, est constituée d'une arche Renaissance enjambant la rue du Gros-Horloge surmontée d'une horloge astronomique du XIVe siècle. Le Gros-Horloge fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques en 1862.
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Le Gros-Horloge
Rue du Gros Horloge
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Le Gros-Horloge est l'un des monuments emblématiques de la ville de Rouen construit en 1389. La construction, accolée à un beffroi, est constituée d'une arche Renaissance enjambant la rue du Gros-Horloge surmontée d'une horloge astronomique du XIVe siècle. Le Gros-Horloge fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques en 1862.
La cathédrale Notre-Dame, officiellement cathédrale primatiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Rouen, est le monument le plus prestigieux de la ville de Rouen. Elle est le siège de l'archidiocèse de Rouen, chef-lieu de la province ecclésiastique de Normandie. L'archevêque de Rouen portant le titre de primat de Normandie, sa cathédrale a ainsi le rang de primatiale. C'est une construction d'architecture gothique dont les premières pierres remontent au haut Moyen Âge. Elle a la particularité, rare en France, de conserver son palais archiépiscopal et les constructions annexes environnantes datant de la même époque. Comme la plupart des grands édifices religieux du gothique normand, la cathédrale est dotée d'une « tour-lanterne » sur la croisée du transept. La flèche en bois couverte en plomb de style Renaissance qui la couronnait fut détruite par un incendie allumé par la foudre en 1822. Elle est à présent surmontée d'une flèche en fonte, construite de 1825 à 1876 qui culmine à 151 mètres de hauteur. La cathédrale Notre-Dame de Rouen est la plus haute de France et était le plus haut bâtiment du monde au moment de son achèvement en 1876, et le restera jusqu'en 1880, détrônée par la cathédrale de Cologne (157 mètres). Elle reste néanmoins la troisième plus haute église du monde, dépassée seulement par celles d'Ulm et Cologne. Elle est également la cathédrale qui, par la largeur de sa façade occidentale de 61,60 mètres, détient le record de France. Considérée comme « la plus humaine des cathédrales » par le manque de symétrie de sa façade occidentale, elle est mondialement connue, notamment à travers les 30 tableaux de la série des Cathédrales de Rouen, peints par Claude Monet.
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Le Cathédrale
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La cathédrale Notre-Dame, officiellement cathédrale primatiale Notre-Dame-de-l'Assomption de Rouen, est le monument le plus prestigieux de la ville de Rouen. Elle est le siège de l'archidiocèse de Rouen, chef-lieu de la province ecclésiastique de Normandie. L'archevêque de Rouen portant le titre de primat de Normandie, sa cathédrale a ainsi le rang de primatiale. C'est une construction d'architecture gothique dont les premières pierres remontent au haut Moyen Âge. Elle a la particularité, rare en France, de conserver son palais archiépiscopal et les constructions annexes environnantes datant de la même époque. Comme la plupart des grands édifices religieux du gothique normand, la cathédrale est dotée d'une « tour-lanterne » sur la croisée du transept. La flèche en bois couverte en plomb de style Renaissance qui la couronnait fut détruite par un incendie allumé par la foudre en 1822. Elle est à présent surmontée d'une flèche en fonte, construite de 1825 à 1876 qui culmine à 151 mètres de hauteur. La cathédrale Notre-Dame de Rouen est la plus haute de France et était le plus haut bâtiment du monde au moment de son achèvement en 1876, et le restera jusqu'en 1880, détrônée par la cathédrale de Cologne (157 mètres). Elle reste néanmoins la troisième plus haute église du monde, dépassée seulement par celles d'Ulm et Cologne. Elle est également la cathédrale qui, par la largeur de sa façade occidentale de 61,60 mètres, détient le record de France. Considérée comme « la plus humaine des cathédrales » par le manque de symétrie de sa façade occidentale, elle est mondialement connue, notamment à travers les 30 tableaux de la série des Cathédrales de Rouen, peints par Claude Monet.
On y trouve plusieurs maisons à pans de bois et/ou à encorbellement, dont une grande partie n'est en fait constituée que de façades anciennes remontées à cet endroit. Elle abritait l'église Saint-Sauveur qui fut détruite en 1793 mais dont les substructions ont été dégagées lors de la rénovation de la place. L'église Sainte-Jeanne d'Arc y fut édifiée à la fin des années 1970 sur les plans de l'architecte Louis Arretche. Cette église à l'architecture audacieuse et contestée permet d'admirer les vitraux de l'ancienne église Saint-Vincent, située jadis en bas de la rue Jeanne-d'Arc et détruite en 1944. Son aspect évoque à la fois un bateau viking et un poisson. Elle fut inaugurée le 27 mai 1979 par Valéry Giscard d'Estaing, président de la République. La renommée de la place est liée au supplice de Jeanne d'Arc qui y fut brûlée vive le 30 mai 1431. Le lieu des exécutions publiques avec le pilori et le mur pare-feu pour les bûchers a été exhumé en même temps que les fondations de l'église Saint-Sauveur lors des fouilles effectuées de 1970 à 1976. Une croix a été dressée à côté de l'emplacement du bûcher, comme il avait été stipulé lors du procès d'annulation (dit « de réhabilitation ») en 1456. Cette croix a valeur de monument national d'hommage à Jeanne d'Arc, érigé conformément à la loi du 10 juillet 1920 instituant une fête nationale de Jeanne d'Arc, dont l'article 3 précise : « Il sera élevé en l'honneur de Jeanne d'Arc, sur la place de Rouen, où elle a été brûlée vive, un monument avec une inscription : À Jeanne d'Arc LE PEUPLE FRANÇAIS RECONNAISSANT. » La statue de Jeanne au bûcher (1927) est due à Maxime Real del Sarte.
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Place du Vieux-Marche
Place du Vieux Marché
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On y trouve plusieurs maisons à pans de bois et/ou à encorbellement, dont une grande partie n'est en fait constituée que de façades anciennes remontées à cet endroit. Elle abritait l'église Saint-Sauveur qui fut détruite en 1793 mais dont les substructions ont été dégagées lors de la rénovation de la place. L'église Sainte-Jeanne d'Arc y fut édifiée à la fin des années 1970 sur les plans de l'architecte Louis Arretche. Cette église à l'architecture audacieuse et contestée permet d'admirer les vitraux de l'ancienne église Saint-Vincent, située jadis en bas de la rue Jeanne-d'Arc et détruite en 1944. Son aspect évoque à la fois un bateau viking et un poisson. Elle fut inaugurée le 27 mai 1979 par Valéry Giscard d'Estaing, président de la République. La renommée de la place est liée au supplice de Jeanne d'Arc qui y fut brûlée vive le 30 mai 1431. Le lieu des exécutions publiques avec le pilori et le mur pare-feu pour les bûchers a été exhumé en même temps que les fondations de l'église Saint-Sauveur lors des fouilles effectuées de 1970 à 1976. Une croix a été dressée à côté de l'emplacement du bûcher, comme il avait été stipulé lors du procès d'annulation (dit « de réhabilitation ») en 1456. Cette croix a valeur de monument national d'hommage à Jeanne d'Arc, érigé conformément à la loi du 10 juillet 1920 instituant une fête nationale de Jeanne d'Arc, dont l'article 3 précise : « Il sera élevé en l'honneur de Jeanne d'Arc, sur la place de Rouen, où elle a été brûlée vive, un monument avec une inscription : À Jeanne d'Arc LE PEUPLE FRANÇAIS RECONNAISSANT. » La statue de Jeanne au bûcher (1927) est due à Maxime Real del Sarte.
L'abbaye Saint-Pierre de Jumièges est une ancienne abbaye bénédictine fondée par saint Philibert, fils d'un comte franc de Vasconie vers 6541 sur un domaine du fisc royal à Jumièges dans le département de la Seine-Maritime. Elle applique la règle de saint Benoît dès la fin du viie siècle, après avoir utilisé probablement la règle de saint Colomban. L'abbaye marque l'apogée du monachisme normand dans la vallée de la Seine, et est la plus vaste et la plus précoce des grandes abbatiales normandes. Elle est la seule qui soit restée fidèle à la multiplicité des sanctuaires du très ancien monachisme carolingien et est un des lieux-clefs de l'art roman normand où l'articulation entre l'architecture carolingienne et l'architecture romane est la plus visible2.
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Jumièges Kloster
24 Rue Guillaume le Conquérant
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L'abbaye Saint-Pierre de Jumièges est une ancienne abbaye bénédictine fondée par saint Philibert, fils d'un comte franc de Vasconie vers 6541 sur un domaine du fisc royal à Jumièges dans le département de la Seine-Maritime. Elle applique la règle de saint Benoît dès la fin du viie siècle, après avoir utilisé probablement la règle de saint Colomban. L'abbaye marque l'apogée du monachisme normand dans la vallée de la Seine, et est la plus vaste et la plus précoce des grandes abbatiales normandes. Elle est la seule qui soit restée fidèle à la multiplicité des sanctuaires du très ancien monachisme carolingien et est un des lieux-clefs de l'art roman normand où l'articulation entre l'architecture carolingienne et l'architecture romane est la plus visible2.
Implantée au cœur du Parc Naturel Régional, la Route des Fruits suit un itinéraire qui épouse parfaitement la courbe que la Seine dessine autour de la presqu'île de Jumièges. Idéal pour les randonnées vélo. La Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de RouenLa Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de RouenLa Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de Rouen Avant les fruits… les fleurs ! Jumièges nous offre un paysage magnifique en avril-mai, selon le climat plus ou moins avancé, avec l'éclosion d'une multitude de fleurs de pommiers, de cerisiers, de poiriers et de pruniers. Elles nous embaument de douces prochaines saveurs. Empruntez la route du Conihout ou les promenades proposées par l'office de tourisme pour partager un moment fleurissant. N'oubliez pas la rue du Perrey avec un très beau point de vue avec les vergers en fleurs et en arrière-plan l'abbaye de Jumièges. Après les fleurs… les fruits ! Jumièges est réputé pour ses fruits savoureux favorisés par le micro-climat. Le choix est multiple : égayez vos papilles en dégustant au gré des saisons les framboises, les cerises, les prunes, les mirabelles, les pommes, les mûres, les poires. La Route des Fruits s'étale du halage de Duclair, en se dirigeant vers Mesnil-sous-Jumièges, Jumièges puis sur l'autre rive à Heurteauville, la Mailleraye-sur-Seine jusqu'à Notre-Dame-de-Bliquetuit. Elle s'effectue principalement en voiture ou en vélo et vous conduira bien souvent en bordure de Seine. Au gré de cette balade, vous rencontrerez bien souvent des producteurs vendant leur récolte à leur barrière.
Le Mesnil-sous-Jumièges
Implantée au cœur du Parc Naturel Régional, la Route des Fruits suit un itinéraire qui épouse parfaitement la courbe que la Seine dessine autour de la presqu'île de Jumièges. Idéal pour les randonnées vélo. La Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de RouenLa Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de RouenLa Route des Fruits proche du Camping de la Forêt de Jumièges, camping 4 étoiles, hôtellerie de plein air avec piscine couverte, location chalets et mobil home en Seine Maritime, proche de Rouen Avant les fruits… les fleurs ! Jumièges nous offre un paysage magnifique en avril-mai, selon le climat plus ou moins avancé, avec l'éclosion d'une multitude de fleurs de pommiers, de cerisiers, de poiriers et de pruniers. Elles nous embaument de douces prochaines saveurs. Empruntez la route du Conihout ou les promenades proposées par l'office de tourisme pour partager un moment fleurissant. N'oubliez pas la rue du Perrey avec un très beau point de vue avec les vergers en fleurs et en arrière-plan l'abbaye de Jumièges. Après les fleurs… les fruits ! Jumièges est réputé pour ses fruits savoureux favorisés par le micro-climat. Le choix est multiple : égayez vos papilles en dégustant au gré des saisons les framboises, les cerises, les prunes, les mirabelles, les pommes, les mûres, les poires. La Route des Fruits s'étale du halage de Duclair, en se dirigeant vers Mesnil-sous-Jumièges, Jumièges puis sur l'autre rive à Heurteauville, la Mailleraye-sur-Seine jusqu'à Notre-Dame-de-Bliquetuit. Elle s'effectue principalement en voiture ou en vélo et vous conduira bien souvent en bordure de Seine. Au gré de cette balade, vous rencontrerez bien souvent des producteurs vendant leur récolte à leur barrière.
La Fondation Claude Monet présente les jardins et la maison de Claude Monet à Giverny (Eure). Avec 530 000 visiteurs par an en 2010, elle est le deuxième lieu le plus visité en Normandie après le Mont-Saint-Michel. Depuis cette date, la fréquentation augmente atteignant 570 000 en 2012 puis 580 000 en 2013 pour atteindre 627 000 visiteurs en 2014, ce qui conforte sa deuxième place de site touristique de Normandie. La maison et les jardins ont reçu respectivement les labels « Maison des Illustres en 2012 » et Logo affichant deux demies silhouettes d'arbre Jardin remarquable en 2011. La propriété fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 26 avril 1976.
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Monet
84 Rue Claude Monet
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La Fondation Claude Monet présente les jardins et la maison de Claude Monet à Giverny (Eure). Avec 530 000 visiteurs par an en 2010, elle est le deuxième lieu le plus visité en Normandie après le Mont-Saint-Michel. Depuis cette date, la fréquentation augmente atteignant 570 000 en 2012 puis 580 000 en 2013 pour atteindre 627 000 visiteurs en 2014, ce qui conforte sa deuxième place de site touristique de Normandie. La maison et les jardins ont reçu respectivement les labels « Maison des Illustres en 2012 » et Logo affichant deux demies silhouettes d'arbre Jardin remarquable en 2011. La propriété fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 26 avril 1976.
Le musée des Beaux-Arts de Rouen est l'un des principaux musées de région de France. Il se situe au cœur de la ville, face au square Verdrel, dans un bâtiment dont la rénovation complète s'est achevée en 1994. Le musée des Beaux-Arts de Rouen a été créé par le décret Chaptal de 1801 sous le Consulat de Napoléon Bonaparte. Modestes au départ, ses collections se sont considérablement enrichies au cours du xixe siècle. Cité en 1878 comme « le plus complet après celui de Paris », il compte aujourd'hui encore une collection d'une richesse et d'une ampleur considérées comme exceptionnelles. Doté de huit mille œuvres, son cabinet d'arts graphiques bénéficie d'une réputation internationale. Des ressources en ligne – dossiers pédagogiques et livret jeune public – aident à préparer sa visite. Ses collections permanentes se déploient sur soixante salles, le xviie et le xixe siècle y étant particulièrement bien représentés. En plus de la présentation de ses collections, le musée des Beaux-Arts organise plusieurs expositions par an. Certaines ont un retentissement international et participent de sa réputation. En 2006, par exemple, le musée, ayant présenté huit expositions temporaires, parmi lesquelles les « Chefs-d'œuvre des musées de Florence », a fait passer le nombre de visiteurs de 87 000 à 314 6882. En 2010, dans le cadre du festival Normandie impressionniste, l'exposition « Une ville pour l'impressionnisme : Monet, Pissarro et Gauguin à Rouen » a attiré plus de 240 000 visiteurs, ce qui en a fait le clou du festival. En 2007, le budget d'acquisition s'élève à 150 000 euros par an2. Le musée reçoit également quelques fonds du mécénat. Il a reçu le label musée de France et son directeur actuel est Sylvain Amic.
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Museum for skønne kunster i Rouen
Esplanade Marcel Duchamp
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Le musée des Beaux-Arts de Rouen est l'un des principaux musées de région de France. Il se situe au cœur de la ville, face au square Verdrel, dans un bâtiment dont la rénovation complète s'est achevée en 1994. Le musée des Beaux-Arts de Rouen a été créé par le décret Chaptal de 1801 sous le Consulat de Napoléon Bonaparte. Modestes au départ, ses collections se sont considérablement enrichies au cours du xixe siècle. Cité en 1878 comme « le plus complet après celui de Paris », il compte aujourd'hui encore une collection d'une richesse et d'une ampleur considérées comme exceptionnelles. Doté de huit mille œuvres, son cabinet d'arts graphiques bénéficie d'une réputation internationale. Des ressources en ligne – dossiers pédagogiques et livret jeune public – aident à préparer sa visite. Ses collections permanentes se déploient sur soixante salles, le xviie et le xixe siècle y étant particulièrement bien représentés. En plus de la présentation de ses collections, le musée des Beaux-Arts organise plusieurs expositions par an. Certaines ont un retentissement international et participent de sa réputation. En 2006, par exemple, le musée, ayant présenté huit expositions temporaires, parmi lesquelles les « Chefs-d'œuvre des musées de Florence », a fait passer le nombre de visiteurs de 87 000 à 314 6882. En 2010, dans le cadre du festival Normandie impressionniste, l'exposition « Une ville pour l'impressionnisme : Monet, Pissarro et Gauguin à Rouen » a attiré plus de 240 000 visiteurs, ce qui en a fait le clou du festival. En 2007, le budget d'acquisition s'élève à 150 000 euros par an2. Le musée reçoit également quelques fonds du mécénat. Il a reçu le label musée de France et son directeur actuel est Sylvain Amic.
Le palais de justice de Rouen, ancien Échiquier de Normandie, est un édifice de la ville de Rouen, situé dans le département français de la Seine Maritime, en région Normandie. Il s'agit de l'un des monuments les plus emblématiques de la capitale normande. Réalisé en grande partie de 1499 à 1507 pour abriter le Parloir aux Bourgeois et l'ancien Échiquier de Normandie, il devient Parlement de Normandie sous le règne de François Ier, en 1515, avant de faire fonction de palais de justice à partir de la Révolution française. Le bâtiment sera agrandi au xixe siècle vers les rues Jeanne-d'Arc et Socrate. Par l'ampleur et la richesse de sa conception, il témoigne d'abord de la prospérité retrouvée de la ville de Rouen à la fin du xve siècle, renouvelant alors un patrimoine municipal auparavant négligé. En tant qu'exemple de l'architecture civile de style Louis XII des premières décennies du xvie siècle, le monument fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Son architecture est à rapprocher de celle de l'hôtel de Bourgtheroulde et du bureau des Finances contemporains. Une première fois ravagé le 19 avril 1944 lors d'un bombardement de grande ampleur sur Rouen et son agglomération, c'est cependant le bombardement du 26 août, précédant la libération de la ville qui provoqua le plus de dégâts, anéantissant presque radicalement le corps de logis central de style Louis XII. L'édifice doit alors être partiellement reconstruit. L'achèvement quasi complet de cette restitution minutieuse confirmera le classement de l'édifice au titre des monuments historiques en 1977 suivie par son inscription définitive en 1979. Ce site est desservi par la station souterraine de tramway Palais de Justice.
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Palais de Justice station
Rue Jeanne d'Arc
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Le palais de justice de Rouen, ancien Échiquier de Normandie, est un édifice de la ville de Rouen, situé dans le département français de la Seine Maritime, en région Normandie. Il s'agit de l'un des monuments les plus emblématiques de la capitale normande. Réalisé en grande partie de 1499 à 1507 pour abriter le Parloir aux Bourgeois et l'ancien Échiquier de Normandie, il devient Parlement de Normandie sous le règne de François Ier, en 1515, avant de faire fonction de palais de justice à partir de la Révolution française. Le bâtiment sera agrandi au xixe siècle vers les rues Jeanne-d'Arc et Socrate. Par l'ampleur et la richesse de sa conception, il témoigne d'abord de la prospérité retrouvée de la ville de Rouen à la fin du xve siècle, renouvelant alors un patrimoine municipal auparavant négligé. En tant qu'exemple de l'architecture civile de style Louis XII des premières décennies du xvie siècle, le monument fait l'objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840. Son architecture est à rapprocher de celle de l'hôtel de Bourgtheroulde et du bureau des Finances contemporains. Une première fois ravagé le 19 avril 1944 lors d'un bombardement de grande ampleur sur Rouen et son agglomération, c'est cependant le bombardement du 26 août, précédant la libération de la ville qui provoqua le plus de dégâts, anéantissant presque radicalement le corps de logis central de style Louis XII. L'édifice doit alors être partiellement reconstruit. L'achèvement quasi complet de cette restitution minutieuse confirmera le classement de l'édifice au titre des monuments historiques en 1977 suivie par son inscription définitive en 1979. Ce site est desservi par la station souterraine de tramway Palais de Justice.

Gastronomie

Depuis 1345, l'auberge "La Couronne", installée place du Vieux Marché à Rouen, est le théâtre des grands événements de la capitale normande.
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La Couronne
31 Pl. du Vieux Marché
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Depuis 1345, l'auberge "La Couronne", installée place du Vieux Marché à Rouen, est le théâtre des grands événements de la capitale normande.

Divertissement

La foire Saint-Romain, autrefois appelée foire du Pardon, est une fête foraine rouennaise annuelle se déroulant de la fin octobre à la fin novembre. Elle regroupe environ 220 attractions, dont 28 attractions principales. La foire Saint-Romain de Rouen est la deuxième plus grande fête foraine de France après la foire du Trône. Jusqu'en 2014 elle s'étalait sur 1 800 mètres sur les quais rive gauche. Les quais ayant fait l'objet d'une rénovation globale, elle se situe dorénavant sur l'esplanade Saint-Gervais rénovée depuis 2016.
Foire St Romain
13 Bd Emile Duchemin
La foire Saint-Romain, autrefois appelée foire du Pardon, est une fête foraine rouennaise annuelle se déroulant de la fin octobre à la fin novembre. Elle regroupe environ 220 attractions, dont 28 attractions principales. La foire Saint-Romain de Rouen est la deuxième plus grande fête foraine de France après la foire du Trône. Jusqu'en 2014 elle s'étalait sur 1 800 mètres sur les quais rive gauche. Les quais ayant fait l'objet d'une rénovation globale, elle se situe dorénavant sur l'esplanade Saint-Gervais rénovée depuis 2016.